Sébatien Templier / Journaliste :
«On a tous eu cette impression partout dans le monde que ça allait décoller, car il y avait à l’époque plusieurs modèles présentés en même temps aux salons. Mais il y a eu la baisse du prix de l’essence et le goût des gens pour les VUS, s’y croyant plus en sécurité.»